Lauréats du prix européen des jeunes architectes : Europe 40 Under 40 Awards
Lauréats des Albums des jeunes Architectes et paysagistes Session 2009-2010
L’agence vient de déposer un permis de construire pour un ensemble immobilier d’une surface de 12 600 m2 dans la ZAC Léon Blum au côté des agences Liebeskind / MVRDV / Architecture Studio / Brenac et Gonzales / Search …
Anniversaire LES 30 ANS D’EUROPAN – LARAQUI BRINGER invité à participer au plateau Radio organisé par ATELIER JAVA et LA PLATEFORME DE LA CREATION ARCHITECTURALE pour le Forum EUROPAN 30 ans à la Cité de l’architecture et du patrimoine
EUROPAN MENTOR Europan fait émerger des projets atypiques, rend possible l’expérimentation urbaine et représente un tremplin pour de jeunes professionnels. Europan serait-il plus qu’un concours ?
Notre projet « La part belle au réemploi » finaliste de la consultation internationale Inventons la Métropole du Grand Paris , équipe Les Ferrailleurs
en co-conception avec MVRDV
MOA : EMERIGE / KAUFMAN&BROAD / COOPIMMO
« A partir du 30 novembre 2017, le Pavillon de l’Arsenal présente les résultats de la consultation internationale « Inventons la Métropole du Grand Paris » lancée par la Métropole du Grand Paris, la Société du Grand Paris et la préfecture de la Région Île-de-France. L’exposition rassemble toutes les propositions finalistes soumises par les 153 équipes pluridisciplinaires ayant participé à cet appel à projets urbains innovants d’une ampleur exceptionnelle. »
LARAQUI BRINGER ARCHITECTURE fait partie des Lauréats des 40 UNDER 40 . A cette occasion, la revue L’architecture d’aujourd’hui a publié un Hors -Série présentant le parcours de notre agence.
Les 16 agences françaises du prix « Europe 40under40″se livrent à l’exercice subtil du Pecha Kucha.
Dimanche 15 octobre 14h00 à 19h00
Cet événement est organisé dans le cadre des Journées nationales de l’architecture.
Entrée libre. Dimanche 15 octobre 14h00 à 19h00. A la Maison de l’architecture, 148 rue du Faubourg Saint-Martin, 75010 Paris Métro Gare de l’Est. (lignes 4, 5, 7)
Les 16 agences françaises du prix « Europe 40 under 40 » 2016, les européennes qui pourront être présentes, ainsi que les 4 agences de l’exposition « Mon architecte, une agence s’installe aux Récollets » se livrent à l’exercice subtil du Pecha Kucha : un format de présentation orale de leur œuvre architecturale en 20 diapositives projetées se succédant toutes les 20 secondes pour une présentation de 6 minutes et 40 secondes.
Cette contrainte de présentation, inventée par des architectes américains installés à Tokyo au début des années 2000, vient en réaction aux interminables diaporamas professionnels assommants que sont les PowerPoint.
Depuis le Pecha Kucha est utilisé dans le monde entier lors d’événements créatifs et multidisciplinaires qui permettent au public d’appréhender l’essence de la pensée architecturale, sa qualité créative et sa pratique professionnelle.
Le Pecha Kucha des Journées Nationales de l’architecture présente le travail des 16 architectes européens âgés de moins de 40 ans lauréats du prix « Europe 40 under 40 » 2016-2017 décerné officiellement fin novembre 2016 par le European Centre for Archi-tecture Art Design and Urban Studies (Dublin) et le Chicago Athenaeum : Museum of Architecture and De-sign (Chicago).
Leurs projets lauréats ont été exposés à Athènes au « Contemporary Space Athens » du 24 février 2017 au 31 mars 2017, aux côtés d’agences d’Autriche, de Grèce, de Grande Bretagne, d’Italie, du Kosovo, du Portugal, de Slovénie, d’Espagne et de Turquie. Ils sont pendant les Journées Nationales de l’architecture présentés à la Maison de l’architecture avec le soutien du Ministère de la Culture et sa Direction Régionale d’Ile-de-France.
A leurs côtés seront également présentés les projets des quatre agences participant l’exposition « Mon architecte, une agence d’architecture s’installe aux Récollets », exposition soutenue par l’Ordre des architectes d’Île-de-France et initiée dans le cadre des Journées nationales de l’Architecture et de l’opération « Les architectes ouvrent leurs portes ». Les projets présentés ont tous été réalisés à la demande de particuliers.
EUROPE 40 UNDER 40 ARCHITECTS & DESIGNERS 2016
16 AGENCES FRANÇAISES LAURÉATES
Les 16 agences lauréates
Une exposition de La Maison de l’Architecture en Ile-de-France dans le cadre des Journées nationales de l’Architecture 2017
Exposition des projets des 16 agences d’architectures françaises lauréates de l’édition 2016 du concours EUROPE 40 UNDER 40.
Le prix Europe 40 UNDER 40 met à l’honneur en 2016, la génération montante des architectes et designers sélectionnés par un jury de professionnels exerçant dans les meilleures agences aux États-Unis et en Angleterre.
Parmi les 40 architectes et designers européens de moins de 40 ans (40 UNDER 40), 16 agences françaises ont été sélectionnées en 2016. Ce palmarès révèle la jeune garde française, à la fois ambitieuse et créative, distinguée pour la pertinence de ses projets.
Conscients de la particularité du résultat, les 16 lauréats français ont décidé de s’associer le temps d’une publication et d’une exposition. A l’invitation de la Maison de l’Architecture (14,15 octobre 2017) ils participent aux Journées Nationales de l’Architecture, avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France.
Chaque agence française expose les trois projets qui ont été présentés au jury des 40 UNDER 40 placé sous la direction de Christian Narkiewicz, président du Chicago Museum.
Parler de la couleur en architecture, c’est aussi parler de peinture, de la représentation du vivant, d’une forme d’abstraction, d’histoires sacrées ou profanes, des femmes et des hommes. Selon Ilham laraqui et Marc Bringer, il s’agit là de la définition du monde qui nous entoure, lequel n’est pas aseptisé, blanc, clinique et neutre. Peut-on habiter dans une œuvre, une toile, un film, une image colorée ? Rencontre.
Pour ce couple d’architecte, c’est un projet en soi de chercher à comprendre l’espace pictural, notamment par l’œuvre de Fernand Léger avec ses taches de couleur détachées des contours des choses et des personnages, par les ‘pénétrables’ colorés et des toiles cinétiques de Soto, avec Matisse encore, qui crée de la profondeur de champ sans perspective avec de simples aplats colorés, faisant se confondre les textiles des nappes, les corps, les paysages et les espaces intérieurs.
Patio @ Ecliptique – Laurent Thion
La question de l’utilisation de la couleur, et de l’architecture colorée, c’est-à-dire avec des parties en couleur et avec des espaces colorés, devrait-elle se poser dans tout projet ? Ilham laraqui et Marc Bringer en sont convaincus.
«La couleur, uniquement des couleurs vives, est liée à la gaieté que nous voulons insuffler dans nos projets. Elle accroche la lumière, la teinte, dynamise les volumes et l’espace, les qualifie. La couleur euphorise et son pouvoir est intense quand les teintes vives jouent avec la lumière naturelle», disent-ils.
Redéfinir l’air du temps, plutôt morose, par la couleur ? La proposition semble présomptueuse. Pourtant, de fait, les grandes firmes internationales qui influencent aujourd’hui la société, à commencer par Apple et Microsoft, ou McDonald ou Coca-Cola ou NBC, utilisent des couleurs vives dans leur logo. La couleur est-elle une forme de transgression ? De séduction ? Qu’en est-il pour l’architecture ?
Dans tous les concours, il est demandé aux architectes d’être «innovants et créatifs», remarque Marc Bringer. Alors pourquoi en effet rendre toujours ou presque des bâtiments et des espaces blancs ? «Laisser un espace blanc, c’est un non-choix, sinon c’est un musée ou un espace de bureau», dit-il.
Terrasse @ Ecliptique – Laurent Thion
Ces architectes ne conçoivent pas des bâtiments colorés par anticonformisme ou esprit de contradiction – au contraire, il y a une vraie volonté pédagogique dans leur approche –, et ce n’est pas non plus un acte politique ou idéologique, c’est seulement que la couleur selon eux donne le sens du projet et permet de l’identifier. «La couleur montre, creuse, attire ou repousse, elle rend mystérieux, c’est un ingrédient pour construire un récit», explique Ilham Laraqui.
La couleur permet certes de qualifier les lieux et, dans le cadre d’un programme fonctionnel, d’apporter une démarche artistique. Pour l’espace culturel et de loisirs de Chaville, dans un contexte de ZAC néo-classique, la ville maître d’ouvrage lors du concours fut d’abord surprise avant d’être conquise par leur proposition «d’œuvre sculpturale inspirée de l’omniprésence des forêts avoisinantes». Aujourd’hui le bâtiment, seul de ce type dans son environnement, est devenu un repère urbain important.
De fait, dans un paysage unitaire et uniforme fait de bâtiments blancs et de toutes les teintes de gris, un bâtiment coloré acquiert une identité propre. Pourtant la culture urbaine pousse à la sobriété et va à l’encontre de la couleur. Cette neutralité serait-elle le reflet de la frilosité des maîtres d’ouvrage ? De celle aussi des architectes ?
@ Ecliptique – Laurent Thion
Pour Ilham Laraqui et Marc Bringer, leur approche est donc aussi d’exprimer une volonté de lutter contre l’uniformité de la pensée. «La couleur, c’est avoir une pensée sur la ville et la vie. Et la ville, sans s’opposer aux autres, peut être gaie ; il faut partir d’un a priori positif pour faire de l’architecture». Une philosophie de vie autant qu’une pratique donc. Liberté d’expression ? Ils concèdent que mettre de la joie dans les logements est plus difficile.
L’architecture cependant doit moins à la couleur qu’à la capacité de construire. Tous les deux évoquent «la jouissance» du chantier, où ils se rendent ensemble, y passant la journée. Ils sont «laborieux» disent-ils, pas des «industriels de l’œuvre», l’inverse d’un Jeff Koons en somme. Derrière le trait, la réalité. «Les plans sont une abstraction à qui il faut donner une réalité constructive», disent-ils.
@ Ecliptique – Laurent Thion
Le couple aime se promener en forêt et demeure émerveillé par les teintes de la nature. «La nature n’est pas un espace neutre, peut-être la raison pour laquelle la société la réclame maintenant», disent-ils. Patrimoine construit, patrimoine planté, ils évoquent le ‘jardinier’ Gilles Clément qui entend laisser la nature reprendre ses droits. La nature ne reprend-elle pas toujours ses droits ? La question de la qualité des sols, de la végétation, de la qualité de l’environnement se pose en effet à chaque architecte.
Au titre de leurs influences, en sus du paysage, compter les architectes, les peintres, les cinéastes, les voyages, les expos, etc. Une vision généreuse de la création. Bref ils sont curieux. De l’antiquité à la renaissance, ils ont cherché comment l’art s’intègre au bâtiment. La question demeure posée et leur réflexion se poursuit. «L’espace pictural est un concept moderne qui nous intéresse, l’idée étant de faire vivre les gens de 7 à 77 ans dans une œuvre accessible à tous, leur proposer cette expérience-là», disent-ils. Ils ont fait un pas en ce sens avec la Maison de la Vie Associative et du Citoyen (MVAC) de Saint-Ouen.
@ Ecliptique – Laurent Thion
La couleur naît d’une intuition, d’une réalité sensible perçue. C’est une capacité subjective à proposer des bâtiments originaux. «Les maîtres d’ouvrages publics ou privés nous appellent en connaissance de cause», concluent les architectes. L’agence compte aujourd’hui de nombreux projets en cours, dont un conservatoire de musique et de danse, un gymnase, des logements, deux projets urbains dont un site du concours ‘Inventons la Métropole’.
Programme : EQUIPEMENT ASSOCIATIF / 1 Salle d’initiatives et de spectacle (250 places assises), 1 centre de ressources, 5 salles de réunions, 1 salle de formation, 1 hall d’exposition, 1 bar associatif, 1 patio, des bureaux pour l’administration et les agents.
Visite à Pompéi oblige !
Croquis fait à Pompéi et suivi d'une petite analyse d'une maison de rêve ....
Reconstitution de la maison du Faune, symbole panthéiste de la joie de vivre !l'animal-humain au centre de la maison et de son pluvarium !
Nos 2 projets d’équipements culturels – l’Espace culturel et de Loisirs à Chaville 92 et la Maison de la vie associative et du citoyen à Saint-Ouen 93 – ont été sélectionnés comme référence pour « Concevoir et une construire une salle polyvalente – Du projet à la réalisation » Editions Le Moniteur
Remerciements à Sonia Ocello Monvoisin et Claire Lefèvre du Moniteur pour cette superbe publication.
Remerciements à notre super photographe Laurent Thion – Ecliptique
«Toute salle polyvalente s’envisage comme l’un des lieux « communs », emblématiques du vivre-ensemble, un lieu d’expression des opinions et des talents, un lieu témoin du dynamisme d’un territoire et de ses habitants. Espace de rencontres, d’échanges et de partage, la salle polyvalente doit répondre aussi bien aux besoins des administrés, aux enjeux urbains, aux exigences réglementaires diverses (accessibilité, acoustique et confort, etc.) qu’aux contraintes financières et budgétaires.
Cet ouvrage rassemble les recommandations techniques permettant la conception, la programmation et le fonctionnement de salles polyvalentes, petites et grandes, en milieux urbain et rural, dans le cadre de projets de construction, rénovation, modernisation et extension.
Il suit la chronologie d’une opération de construction, appliquée au projet de salle polyvalente :
–– détermination des enjeux en fonction des partenariats institutionnels et des acteurs, des usages actuels − projections cinématographiques, spectacles de toute nature (danse, musique, théâtre…), événements (débats, conférences…), ateliers d’activités scolaires, etc.;
–– définition du projet à partir de l’analyse préalable des besoins;
–– mise en place de la méthodologie de programmation et mise en œuvre technique de l’opération;
–– description des aménagements intérieur et extérieur (mise en œuvre des équipements, choix des matériaux de construction et d’habillage, du mobilier, création des abords) spécifiques à ce type de bâtiment;
–– exécution des travaux et suivi de chantier.
Enrichi de nombreuses illustrations, et complété par des tableaux synthétiques et des logigrammes, ce guide pratique servira de référence pour toutes les parties prenantes à un projet de salle polyvalente en leur permettant d’appréhender les différentes facettes techniques grâce aux nombreuses réalisations architecturales polyvalentes analysées.
Les plus de l’ouvrage :• Ce guide rassemble les recommandations techniques permettant la conception et la programmation d’une salle polyvalente
• Analyse de projets répondant aux critères de polyvalence dans toute la France
• Enrichi de nombreuses illustrations et de fiches pratiques
• Il fournit des exemples de réalisations récentes, avec des plans, coupes et photos en couleurs
Pour qui ? :
− Élus locaux, directeurs des services techniques des municipalités et des départements, services techniques des collectivités territoriales, maîtres d’ouvrage
− Maîtres d’œuvre, architectes »
Notre projet d’espace culturel et de Loisirs à Chaville fait partie des « 30 réalisations françaises exemplaires pour tirer parti des atouts du bois » !
« Cet ouvrage révèle les tendances liées à l’utilisation du bois dans la production architecturale française contemporaine de ces deux dernières années. Les bâtiments sélectionnés pour leur originalité et leurs atouts techniques, sont issus des projets soumis pour le Prix d’architecture du Moniteur, l’Equerre d’argent »
Editions Le Moniteur
Remerciements à Claire Lefèvre et à Olivia Barbet-Massin du Moniteur pour cette superbe publication.
Remerciements à notre super photographe Laurent Thion – Ecliptique